- Le savoir faire des débutants
- Le nom des servants
- Le tabernacle
- Le signe de croix
- L'orgue dans l'église
- La fraction du pain
- Les fonts bâptismaux
- Les couleurs liturgiques
- La Bible
- Le Missel
- Les huiles saintes
- L'ostensoir
- Les offrandes
- Le lecteur
- Le cierge Pascal
- Les différentes attitudes pendant la messe
- Attitude vestimentaire
- Le sens des vêtements
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SERVANTS D'AUTEL
SERVANTS D'AUTEL
Unité Pastorale du Pays de Pontarlier
Le lecteur
Qui peut lire ?
Dans la liturgie de la Parole, seul l’Évangile est lu par l’évêque, le prêtre ou le diacre. Depuis le Concile Vatican II, les autres lectures peuvent être faites par des laïcs hommes ou femmes et bien sûr par des jeunes (donc des servants d’autel).
Dieu a besoin des hommes pour que sa parole soit transmise à nos frères.
C’est donc aux laïcs que revient la 1ere ou 2eme lecture mais aussi le psaume et la prière universelle. Ainsi, pour une célébration, il serait bon d’avoir 4 (ou 3) lecteurs. Cela évite la monotonie. On prête plus attention. Il est bon d’alterner hommes et femmes. Chacun de ces textes demande que l’on se mette dans la peau de celui qui écrit le texte et que l’on tienne compte du contexte et de la situation dans lesquels il a été écrit.
Le ton de la voix a une grande importance, il doit être adapté en fonction de ces différences.
L’assemblée doit recevoir le texte comme une Parole toujours nouvelle, une Parole vivante.
Le lieu de parole : l'ambon
Ce lieu doit être différent de celui de la présidence et de celui de l’animateur de chants. Il est surélevé par une marche. Le pupitre des lectures ne doit servir que pour des lectures.
Le lectionnaire sera en bon état, recouvert d’une belle reliure.
La technique de lecture
Pour qu’un texte soit entendu et compris dans l’assemblée, il faut:
• qu’il soit proclamé d’une voix posée,
• que sa prononciation soit soignée,
• respecter la ponctuation,
• parler lentement,
• ne pas laisser tomber la voix en fin de phrase,
• montrer aux fidèles que le texte s’adresse à eux.
Quelques conseils
• Avant la célébration, il faut s’assurer que le micro est bien branché et le positionner correctement.
• Le lectionnaire doit être ouvert au bon dimanche de l’année liturgique en cours.
• La lecture doit être bien préparée; le lecteur doit comprendre le texte, l’assimiler et surtout le répéter au minimum 2 ou 3 fois (répéter une lecture est aussi important que répéter un mouvement ou un geste).
Le lecteur
Qui peut lire ?
Dans la liturgie de la Parole, seul l’Évangile est lu par l’évêque, le prêtre ou le diacre. Depuis le Concile Vatican II, les autres lectures peuvent être faites par des laïcs hommes ou femmes et bien sûr par des jeunes (donc des servants d’autel).
Dieu a besoin des hommes pour que sa parole soit transmise à nos frères.
C’est donc aux laïcs que revient la 1ere ou 2eme lecture mais aussi le psaume et la prière universelle. Ainsi, pour une célébration, il serait bon d’avoir 4 (ou 3) lecteurs. Cela évite la monotonie. On prête plus attention. Il est bon d’alterner hommes et femmes. Chacun de ces textes demande que l’on se mette dans la peau de celui qui écrit le texte et que l’on tienne compte du contexte et de la situation dans lesquels il a été écrit.
Le ton de la voix a une grande importance, il doit être adapté en fonction de ces différences.
L’assemblée doit recevoir le texte comme une Parole toujours nouvelle, une Parole vivante.
Le lieu de parole : l'ambon
Ce lieu doit être différent de celui de la présidence et de celui de l’animateur de chants. Il est surélevé par une marche. Le pupitre des lectures ne doit servir que pour des lectures.
Le lectionnaire sera en bon état, recouvert d’une belle reliure.
La technique de lecture
Pour qu’un texte soit entendu et compris dans l’assemblée, il faut:
• qu’il soit proclamé d’une voix posée,
• que sa prononciation soit soignée,
• respecter la ponctuation,
• parler lentement,
• ne pas laisser tomber la voix en fin de phrase,
• montrer aux fidèles que le texte s’adresse à eux.
Quelques conseils
• Avant la célébration, il faut s’assurer que le micro est bien branché et le positionner correctement.
• Le lectionnaire doit être ouvert au bon dimanche de l’année liturgique en cours.
• La lecture doit être bien préparée; le lecteur doit comprendre le texte, l’assimiler et surtout le répéter au minimum 2 ou 3 fois (répéter une lecture est aussi important que répéter un mouvement ou un geste).
